J’ai acheté ce livre parce que sa couverture m’a tapé dans l’œil (elle a été dessiné par l’illustrateur de la collection Totem chez Gallmeister) et pour son résumé où il est question d’une disparition.
L’histoire : « Un jour d’avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn. »
Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n’a aucune explication. La porte et les fenêtres de l’appartement étaient closes, les caméras de ce vieil immeuble new-yorkais ne montrent pas d’intrusion. L’enquête de police n’a rien donné.
Au même moment, de l’autre côté de l’Atlantique, un écrivain au cœur broyé se terre dans une maison délabrée.
Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer.
Mes impressions : Je suis férue des intrigues qui tournent autour d’une disparition. C’est à mon goût le « must » en terme de thriller car le champ des possibles est vaste. A partir d’une disparition, on peut tout imaginer mais La vie est un roman n’a rien d’un thriller.
Ce n’est ni plus ni moins qu’un roman sur les tourments de l’écrivain, ses pannes d’inspiration, les mécanismes de la création, les difficultés qu’il peut avoir à cerner clairement ce qui relève de la fiction ou de la réalité.
J’ai été happée par le début : l’héroïne est confrontée au mystère de la disparition de sa fille alors qu’elles jouaient à cache-cache dans un appartement fermé à clefs de l’intérieur. Malheureusement, tout bascule lorsque se termine la première partie. Je n’explique pas les choix de l’auteur concernant la suite. Il m’a donné l’impression de tâtonner, d’expérimenter quelques « trucs » mais sans y parvenir ou aller jusqu’au bout de son idée.
Bref, je ne suis pas certaine de me souvenir longtemps de ce roman.
J’hésite toujours à le lire… je vais peut-être attendre la sortie poche.
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Oui je pense que tu peux attendre sa sortie en poche.. 😁
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