Dès les premiers chapitres, les expressions fleuries de Louise (la québécoise) font beaucoup sourire et il n’est pas difficile d’entendre son accent au fil de la lecture.
Dans ce deuxième roman publié chez Robert Laffont, l’auteur s’inspire des meurtres de William Richard Bradford, un tueur en série qui se faisait passer pour un photographe pour appâter ses victimes. Ce qu’il leur faisait ensuite fait froid dans le dos…
Le Tueur au Miroir m’a semblé un peu moins convaincant que Une forêt obscure dont l’ambiance pesante de la forêt de Tongass et la densité de l’intrigue étaient absolument captivantes. Les deux enquêtrices menaient de front plusieurs enquêtes complexes et il était assez difficile de se faire une idée du dénouement.
L’intrigue du Tueur au Miroir peut paraître plus « simple » car l’atmosphère est moins pesante mais c’est trompeur. De nombreux éléments s’imbriquent et le plaisir de lecture est toujours aussi intense. Fabio Mitchelli arrive à capter notre attention et à nous maintenir en halène jusqu’aux dernières lignes ! Et quelles dernières lignes ! Ostie d’criss !
Je ne connaissais pas du tout mais ça a l’air plutôt sympa!
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Oui c’est un bon auteur. Ce roman est bien construit et son histoire est originale mais le premier, une forêt obscure, est encore meilleur ! 😀
Merci pour ta visite
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